Amicale des Anciens Salariés de l'Usine à Tubes de Joeuf

C'est par hasard que j'ai découvert ce site. J'ai travaillé à l'usine à tubes de Juin 66 à Novembre 1969. J'ai quitté l'usine pour travailler dans le centre de la france.Je travaillais avec Diversi et Collignon. Notre chef s'appelait M. Bastien. Mironneau s'occupait de l'atelier d'outillage ou étaient équipés les mandrins. Je ne reconnais pas toutes les photos car de mon temps c'était pas comme ça. Le soir je travaillais en plus à la Silec, société qui faisait l'enrobage des tubes en fonction de leur utilisation. Le directeur de l'usine s'appelait M. Steiner et nous étions très heureux. Le matin un car de ramassage nous emmenait à l'usine et nous ramenait le soir. Le midi un mini bus nous emmenait à la cantine à Joeuf et nous ramenait à l'usine après le repas. Le Cuisinier était italien et nous y mangions très bien.

Derni?re modification le 31-01-2014 ? 09:57:51

Je suis un ancien salarié entré en 1966 à l'atelier...Je ne vous ai donc pas connu.Nous sommes une amicale qui voulons écrire un livre retraçant l'histoire de l'usine après sa fermeture en 2003.
Il y a encore quelques anciens, mais je n'ai pas de nouvelle d'eux.
Peut-être dans quinze jours?

Un complément d'information sur l'usine à tubes de joeuf ; enfin celle que j'ai connu. Le contremaitre d'atelier de l'époque s'appelait Thévenet.
Diversi et Collignon habitaient comme moi à Fameck ou Madame Diversi était institutrice.

Un ami vient de m'envoyer l'article du Répu concernant votreassociation. J'ai travaillé à l'usine à tubes comme soudeur en sortant du
centre d'apprentissage en 1968. J'y suis resté jusqu'en 1972 avant le grand
déménagement. Mr Steiner était directeur et Mr Bestien ingénieur.  Pour ma
part, habitant Moyeuvre - cité Curel - je venais à l'usine en bus avec tous
ceux de la vallée de la Fench.  Soudeur  je réparais les défauts sur
les tubes (perçage, reprise de coil etc...) juste à, coté de l’aléseuse  J'ai travaillé également sur la pose decouronne aux extrémités  de tubes juste àcôté de l'entreprise d'enrobage.
J'ai eu une interruption d'un an pour cause de service militaire et à mon
retour en 1971 j’avais perdu mon poste. J’ai pu y rester jusqu’en 1972 et après
le refus de Bestien de m’augmenter et aussi le rejet d’une mutation à Sacilor j’ai quitté l’usine pour l’entreprisesans aucun regret.